La « Suisse centre américaine » est l’une des rares destinations envisageables durant la pandémie, sans test PCR.

« Être en vacances, c’est n’avoir rien à faire et avoir toute la journée pour le faire ».
Robert Orben / Orben’s Current Comedy

De vastes espaces intacts
Une flore variée

Depuis la fin des années 1990, la protection de l’environnement et le développement d’un tourisme durable sont devenus la priorité absolue du Costa Rica. Cet éden pour amoureux de la nature (qui représente à peine 0,03% des terres émergées), rassemble 5 à 7% du total de la biodiversité mondiale.

Une faune exceptionnelle

Les forêts occupent 52 % du territoire et on y recense 850 espèces d’oiseaux, 180 d’amphibiens, 220 de reptiles, 34 000 insectes, 230 mammifères … sans compter 12 000 espèces de plantes.

Le Costa Rica possède plus de 200 volcans qui constituent l’arc volcanique d’Amérique centrale, lui-même constituant un maillon de la ceinture de feu du Pacifique. Le plus haut cratère (3432m) est celui de l’Irazú.

Dès 1997, le pays lance un label de tourisme durable. Un label suivi l’année suivante d’une loi sur la biodiversité. L’électricité y est produite en quasi-totalité à partir d’énergies renouvelables et le pays affiche une autonomie quasi totale en la matière.

De féeriques couchers de soleil

Pura Vida, comme ils disent…
La destination a plutôt bien géré et traversé la crise de la Covid-19, même si elle n’a pas échappé à la dernière flambée. Les Costariciens font preuve d’une remarquable discipline en matière de protocoles et de gestes barrière. Voilà pourquoi le Costa Rica, dont le tourisme représente aujourd’hui 8% du PIB, est l’une des valeurs sûres de l’après pandémie.

(Source : Jean Da Luz / Tourmag)